3 choses à savoir à propos de la fenêtre blindée

fenetre blindée

La plupart des propriétaires de maisons (ou de boutiques) se font élaborer des fenêtres blindées afin d’empêcher les tentatives de cambriolage. En effet, bien de personnes mal intentionnées essaient de nuire à leurs vis-à-vis en tentant de les déposséder à travers cette procédure. Et pour la majorité des situations, ces tentatives d’effraction n’arrivent pas à bout lorsque les fenêtres sont véritablement blindées. Si tel est le cas, il y a de quoi reconnaître que ces dernières vaillent vraiment la peine. D’ailleurs, c’est à leur sujet qu’il est utile de porter à votre connaissance ces trois types d’information.

Le vitrage anti-effraction, la force d’une fenêtre blindée

Une fenêtre qui est réellement blindée porte en elle aussi bien un châssis renforcé qu’un vitrage anti-effraction. En effet, ledit vitrage qui est ainsi feuilleté est alors composé de plusieurs vitres, lesquelles sont interposées par un écran. Et c’est d’ailleurs grâce à elles que le vitrage en question arrive à bien tenir face aux coups de marteau et autres.

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À ce même propos, il faut constater que lorsqu’un cambrioleur essaie de casser une vitre, peu importe l’outil qu’il utilise, les différents apparats de verre ne s’éparpillent point. Plutôt, ils s’immobilisent sur l’écran, obligeant ainsi l’intéressé à frapper à plusieurs reprises avant d’obtenir peut-être satisfaction.

Or, pour précisément y arriver, il doit porter au moins 30 coups au vitrage en question ; un nombre largement suffisant pour qu’on l’intercepte.

Un vitrage anti-effraction : les normes auxquelles il doit répondre

Un vitrage anti-effraction doit être conforme à deux différentes normes à savoir : la norme EN 356 et la norme EN 12 600. En effet, c’est la première qui prévoie de façon expresse l’insertion d’un certain nombre d’écrans entre les vitres. Et pour ce qui est de la seconde, elle autre, exige un certain niveau de résistance face aux chocs de type pendulaire.

C’est d’ailleurs sur la base de ces deux normes que la résistance des vitrages est parfois testée avec une grande masse. Ainsi, au vu des résultats issus dudit test, l’on arrive à attribuer une classe au vitrage. Parlant de classification, il sied de préciser qu’il existe trois types de classes à savoir : la classe 3, la classe 2 et la classe 1. Chacune d’elles a en effet ses spécificités.

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Fenêtre blindée : quid du contrat d’assurance

Un assureur d’un vitrage anti-effraction qui arrive à prouver son sens élevé des responsabilités pourra bien exécuter le contrat qu’il aurait conclu avec un logement. Toutefois, il peut logiquement rencontrer des difficultés en cours de route si la personne assurée ne remplit pas véritablement sa part du contrat.

Dans ces conditions, l’assureur aurait raison de ne pas indemniser son client lorsque survient un vol ou une infraction. Pour alors éviter de ces situations, vous devez bien lire le contrat qui vous est proposé avant de l’accepter.

En outre, vous devez également exiger que le contrat qui vous sera présenté indique clairement que vos vitrages seront conformes à la norme EN 356. En effet, l’assureur doit indiquer de façon expresse les conditions sur la base desquelles votre vitrage sera posé, sinon le contrat ne peut être bien appliqué.

Et par delà tous ces points, faites l’effort de ne choisir que des châssis conformes aux menuiseries des fenêtres si le contrat porte ces conditions particulières.

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